exposition de collections (gers)

Vide-greniers

Sports mécaniques, Lecture - Conte - Poésie, Exposition

Plaisance 32160

Le 29/06/2025

Une journée de bonnes affaires et de convivialité Plus de 50 exposants seront présents pour proposer une grande variété d’objets : livres, vêtements, jouets, petits meubles, vaisselle, décoration, collections et bien d’autres trésors à découvrir. Cet événement est une belle occasion de chiner en famille ou entre amis, dans une ambiance chaleureuse et conviviale. De plus, une exposition de voitures anciennes aura lieu pendant la journée.

Exposition : "Mémoire du Pérou"

Auch 32000

Du 01/11/2025 au 04/01/2026

L'an passé, en visitant l’exposition "Le mystère Vicus – Les esprits de la terre", Rolando Javier Ruiz Rosas Cateriano, l’ambassadeur du Pérou en France, a émis le souhait de développer le partenariat entre son pays et le musée auscitain, riche de ses collections précolombiennes. Son vœu est exaucé puisque le musée des Amériques-Auch accueille l’exposition "Mémoires du Pérou" - prêtée par l’ambassade – parcourant 60 ans (de 1890 à 1950) de photographie péruvienne. Les merveilles naturelles du territoire du Pérou, les grands monuments de son passé précolombien, les coutumes ancestrales s’interconnectant avec les aspirations modernisatrices de l’époque, les conflits sociaux d’une société en formation sont figés sur ces 80 reproductions de qualité, qui ont été exposées un peu partout dans le monde. Ces images font partie d’une tradition photographique péruvienne qui s’est nourrie du talent d’un ensemble de créateurs visuels, utilisant l’appareil photographique comme un moyen de dépeindre, de comprendre et d’interpréter ce pays… loin des clichés justement : "C’est intéressant de casser l’image archéologique du Pérou et de montrer une autre vision plus réaliste d’un pays[...]

Exposition : Colonies par Simon Augade

Auch 32000

Du 01/11/2025 au 04/01/2026

Dans le cadre de sa saison culturelle 2023, le musée des Amériques-Auch a invité l’artiste plasticien Simon Augade. Carte blanche lui avait été donnée pour investir le jardin du musée et construire in situ son œuvre lors d’une résidence de 3 mois. L’œuvre monumentale réalisée et appelée à rester plusieurs années sur place évolue sans cesse au cœur du jardin du musée : les couleurs changent, les impressions aussi… Son œuvre est inspirée par les lieux, les thématiques présentées et notamment par le riche univers cosmologique évoqué par les collections précolombiennes. Il est question de dualité, d’univers invisibles, de mondes disparus et d’esprits de la nature. Entre envahissement et cohabitation, parasite et symbiose, porteur et porté on ne sait pas bien qui prend le pas sur l’autre car les deux présences fusionnent tout en jouant d’oppositions.